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La météo avait annoncé un temps clément, c'est bon pour la 2e sortie de l'année.
Deux objectifs au départ :
emprunter quelques routes que je n'ai jamais ou peu parcourues (merci GPS) ;
travailler la puissance sur le plat en essayant d'enrouler du braquet à 70/80 tours minute
et par contre petit développement dans les côtes à 80/100 tmn.
La 1ère sortie, où j'avais beaucoup travaillé en force à faible cadence, m'a dissuadé de recommencer, j'ai eu quelques douleurs dans les muscles pendant 2 jours.
Dès la sortie de NARBONNE, je roule au-dessus du chemin de fer puis je prends à droite vers la piste cyclable qui m'emmène à MONTREDON.
A partir de là, je vais croiser la voie ferrée encore 3 fois (voir carte).
La 2e fois, je passe dessous juste avant MONTREDON ;
la 3e fois, 2 km avant NEVIAN, encore en-dessous ;
la 4e fois enfin, à NEVIAN même, au passage à niveau.
A NEVIAN, j'oblique à gauche, pour suivre une route que je ne connais pas, la D 524, avec 2 bonnes petites côtes (voir profil).
Traversée de la D 6113, passage près des éoliennes (photo) que j'avais ralliées à VTT l'année dernière, et arrivée à BIZANET.
Après ORNAISONS et CRUSCADES, j'effleure LEZIGNAN avant de rejoindre LUC, BOUTENAC et GASPARETS.
Petite variante pour passer près du domaine des Trois Mongettes, traversée du village de ST ANDRE DE ROQUELONGUE par des rues que je ne connaissais pas (toujours le GPS), MONTSERET, DONOS (ça grimpe).
A partir de MONTPLAISIR, belle descente négociée à plus de 50 kmh mais gros freinage avant RIPAUD, un sanglier (encore !) traverse la route ... un petit heureusement ! (pas eu le temps de faire une photo)
Sur quelques kilomètres, la route suit la BERRE, très agréable, et après PORTEL et PEYRIAC, traversée des étangs, d'une exceptionnelle beauté ce jour-là.
Retour à NARBONNE après 80 km, de la fatigue dans les jambes, et dans la tête, mais pas de douleurs musculaires, c'est la vertu de la vélocité, qui va d'ailleurs me permettre d'avaler les dernières rampes à une vitesse jamais atteinte jusque là !
Finir en boulet de canon (j'exagère) est le signe que l'endurance est là.
Deux objectifs au départ :
emprunter quelques routes que je n'ai jamais ou peu parcourues (merci GPS) ;
travailler la puissance sur le plat en essayant d'enrouler du braquet à 70/80 tours minute
et par contre petit développement dans les côtes à 80/100 tmn.
La 1ère sortie, où j'avais beaucoup travaillé en force à faible cadence, m'a dissuadé de recommencer, j'ai eu quelques douleurs dans les muscles pendant 2 jours.
Dès la sortie de NARBONNE, je roule au-dessus du chemin de fer puis je prends à droite vers la piste cyclable qui m'emmène à MONTREDON.
A partir de là, je vais croiser la voie ferrée encore 3 fois (voir carte).
La 2e fois, je passe dessous juste avant MONTREDON ;
la 3e fois, 2 km avant NEVIAN, encore en-dessous ;
la 4e fois enfin, à NEVIAN même, au passage à niveau.
A NEVIAN, j'oblique à gauche, pour suivre une route que je ne connais pas, la D 524, avec 2 bonnes petites côtes (voir profil).
Traversée de la D 6113, passage près des éoliennes (photo) que j'avais ralliées à VTT l'année dernière, et arrivée à BIZANET.
Après ORNAISONS et CRUSCADES, j'effleure LEZIGNAN avant de rejoindre LUC, BOUTENAC et GASPARETS.
Petite variante pour passer près du domaine des Trois Mongettes, traversée du village de ST ANDRE DE ROQUELONGUE par des rues que je ne connaissais pas (toujours le GPS), MONTSERET, DONOS (ça grimpe).
A partir de MONTPLAISIR, belle descente négociée à plus de 50 kmh mais gros freinage avant RIPAUD, un sanglier (encore !) traverse la route ... un petit heureusement ! (pas eu le temps de faire une photo)
Sur quelques kilomètres, la route suit la BERRE, très agréable, et après PORTEL et PEYRIAC, traversée des étangs, d'une exceptionnelle beauté ce jour-là.
Retour à NARBONNE après 80 km, de la fatigue dans les jambes, et dans la tête, mais pas de douleurs musculaires, c'est la vertu de la vélocité, qui va d'ailleurs me permettre d'avaler les dernières rampes à une vitesse jamais atteinte jusque là !
Finir en boulet de canon (j'exagère) est le signe que l'endurance est là.
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